Marre de prendre la poudre d'escampette face à la pollution ?

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Le plastique recyclé est pour beaucoup de monde, l’incarnation d’une action noble : le nettoyage de nos océans et de nos plages qui en sont infestés. Tout comme les «cleanwalks» permettent de sensibiliser les gens et de faire face à la pollution, ce projet propose d’évoquer ce thème, tout en responsabilisant l’utilisateur, de façon plus poétique.

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Par ce projet, le studio pirouette cherche en effet à faire un clin d’œil à cette action contre la pollution du monde marin, par une forme simple : contraindre l’usager à faire face à la principale cause de cette catastrophe : le plastique.

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Visuellement, ce miroir de 420 mm de diamètre est transpercé en son centre, par un cercle de plastique recyclé. Cette masse de 150 mm de diamètre est disposée de telle sorte à ce que l’usager ne puisse se regarder au centre du miroir. Avec cet objet, l’Homme n’est plus au centre de l’attention, laissant place à ce plastique recyclé.

 

Comme un symbole, cette masse a été sculptée en forme de vagues.

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Le plastique recyclé est mis en forme de plaque par La Plastiquerie.

L’usinage du plastique et du miroir sont réalisés par deux entreprises françaises.

Le studio pirouette assure lui, la mise en forme, l’assemblage et la sculpture du plastique à la main, avec ses outils, dans son atelier Toulousain.

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Le miroir mesure 420 mm de diamètre, sur 20 mm d'épaisseur. Le plastique au centre, mesure 150 mm de diamètre. Il s'accroche au mur grâce à un système simple d'emboitement de quincaillerie (voir + bas).

 

Escampette est issu d'une collaboration mise en place entre La Plastiquerie, La Galerie des Curiosités et certains créateurs et designers. + d'infos ici 

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Ce miroir est vendu (et disponible à la commande) sur le site internet de la Galerie des Curiosités, au prix de 780 euros.

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© alexis jacquot - tous droits réservés